Beaucoup d’organisations (comme la vôtre ?) doivent se réinventer, un peu, beaucoup, passionnément… pour grandir ou simplement pour survivre.
Qui sont les vrais acteurs de cette réinvention ? Et où se trouve l’énergie nécessaire ? La réponse, jamais connue d’avance, est dans les situations de travail de tous les jours, dans la liberté d’agir, auprès des clients actuels et futurs, avec les outils, avec les pairs. Elle est aussi – enfermée – dans les règles du jeu que l’on applique mal et dans les fonctionnements naturels dont on ne parle jamais.
Vous vous dites parfois :
- Je voudrais améliorer de façon tangible le fonctionnement collectif, au sein d’une équipe ou d’une population hétérogène
- Je voudrais rendre notre système plus vertueux, pour qu’il produise les comportements souhaités
- Je voudrais libérer l’énergie et la créativité des collaborateurs face à de nouvelles conditions externes
- Je voudrais fortifier notre identité face à une prochaine fusion
- Je voudrais refonder les règles de management
- Je voudrais que les gens se sentent mieux et soient plus efficaces au travail
- Je voudrais ouvrir la porte à de nouveaux modes de pensée
- Je voudrais que mes collaborateurs me surprennent
- Je voudrais que nous fassions un arrêt sur image, pour nous poser et prendre du recul
Les vieux clichés qui voudraient opposer, parfois jusqu’à l’affrontement, une certaine idée de la performance contre une certaine idée de la qualité de vie, vous tireront en arrière !
Le pari de l’internome – comme celui de ses partenaires – c’est que l’entreprise vivante et coopérative possède de meilleures chances de survie que l’entreprise mécaniste et calculatoire. De meilleures chances au sens de Darwin.
L’énergie se trouve au cœur du réel vécu en commun.